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Journées « Psychanalystes et travailleurs sociaux en institution, reste-t-il des libertés face aux astreintes? », Paris,14 et 15 mars 2009

Publié par jp
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Retrouvez ci-dessous les enregistrements des journées des 14 et 15 mars 2009.

Les actes sont disponibles aux éditions de l’ALI.

 

Argument:

En quoi les psychanalystes, comme les travailleurs sociaux, sont-ils interpellés par la question de l’institution?

Aujourd’hui, les professionnels du travail social et du champ éducatif sont exposés aux avancés d’un discours qui n’est pas sans rappeler l’univers des entreprises.

Dans ce discours, l’obligation de résultat se substitue à la traditionnelle obligation de moyens. Les réponses doivent trouver le chemin de la satisfaction d’attentes définies d’avance, court-circuitant ainsi la possibilité d’entendre des demandes singulières qui alors, reviennent sous forme d’un appel à toujours plus de satisfaction. Peut-être assistons-nous aux prémices de l’épuisement du principe institutionnel qui noue liberté individuelle et inscription dans l’ordre social. Un nouvel impératif de satisfaction et d’adéquation modifie cet équilibre au profit de la liberté proclamée de l’individu. Parallèlement cet impératif d’immédiateté entraîne des interventions intempestives, seulement réactives, qui empêchent tout questionnement.

 

– Jean-Pierre Lebrun : « Pourquoi l’action collective est-elle aujourd’hui en difficulté ? »

 

– Martine Trapon : « L’espace du travail social » 

 

– Pierre Cadoux : « Comment empêcher qu’une décision soit possible? »

 

– Marie-Anne Dujarier : « Prendre sur soi : L’individualisation du travail d’organisation »

 

– Pierre Marchal « Pourquoi j’interviens en institution? »

 

table ronde : Les exigences de la liberté dans les pratiques professionnelles.

– Mariette Murat : »La liberté est astreinte »

– Françoise Rey : « Reste-t-il encore des libertés face à la nouvelle économie des institutions? »

– Philippe Candiago : « L’évidence : Un nouveau maître? »

 

–Elisabeth Olla-La Selve : « L’à-venir, d’une profession »

– Pascale Bélot-Fourcade : « Le praticable de la clinique,  libertés et astreintes » 

 

table ronde : « Ecrire ou ne pas écrire en situation professionnelle »

– Jacques Riffault : « Ecrire? Oui, mais autrement »

– Claude Guittin : « Ne pas écrire »

– Redoine Mehrfour, Gérard Streiff : « Atelier d’écriture, mode d’emploi »

– Etienne Oldenhove avec François de Coninck : « Un lieu, un temps pour accueillir la folie »

 

 

 

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Publié dans département psychanalyse et travail social, voir et entendre

Identifié institution, journées, lebrun, social

Fév·05

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